Bella et Edward en forêt [ Robert & Kristen ]

Bella et moi avions décidé de partir en chasse tous les deux nous avions confié Renesmée à Esmée avec une entière confiance. C'est ainsi que sortant de la Villa de ma famille nous courions en direction de la forêt arrivé à l'est de la forêt nous avons zigzaguer entre les pins. A la frontière Canadienne nous nous arrêtons car ont avaient aperçu 3 Grizzlis, de suite notre instinct c'est déclenché et nous sautons chacun sur un grizzli.
Bella bu tout son sang, en faisant attention à ne pas se salir et j'étais fière des progrès qu'elle avait fait elle n'était presque pas tacheté de sang seul son t-shirt blanc avait quelques gouttes de sang.

Bella, tu as fait de gros progrès je t'en félicite.

Messages : 99 Date d'inscription : 12/08/2010

- Je te remercie, mais cela devrais plutôt te concerner. Sans toi, je n'aurais jamais appris à m'appliquer. Tu es donc un excellent professeur.

- Mais cela n'est pas encore tout à fais acquis à ce que je vois.

Bella, tu as fait d'excellent progrès, et tu t'améliorera encore je suis sur.
Les deux grizzli vite, nous partîmes courir un peu dans la foret Bella s'amusa à essayé de me doublé en courant mais sans reussite. J'en étais hilare. Elle s'aperçut que je gagné et riais en plus de sa, alors elle se mit a grimper à un pin et se laissa retomber sur moi, tout en douceur, mais sur le coup je laissais tombé par terre, elle se mit sur moi et cria avec sa joie non dissimulé sa victoire, enfin si on pouvait dire " victoire" j'aimai être comme cela avec elle, me laisser aller. Elle étais resplendissante. Juste ou nous étions il y eu un rayon de soleil et notre peau glaciale s'illumina. Avec une extrême douceur Bella m'embrassa, je ne pourrais dire quel plaisir cela m'vait procuré tellement il étais grand.

Bella, Mon Amour. Je t'aime.

Messages : 99 Date d'inscription : 12/08/2010

- Maintenant qui dois rire hum ? Ne jamais te laisser tenter de me défier. Pas bon pour toi !

- Je t'aime aussi, Edward. Plus que tout.

Ses baisers aussi tendre étaient-ils me laisse à chaque fois sans voix, je ne peux être qu'heureux avec ma femme, ma Bella. Lorsqu'elle me dit " Je t'aime " cea m'envahis d'un tel bonheur, c'est merveilleux, chaque minute que je passe à c'est côté son si magnifique. Ma Bella est aussi douce qu'une pétale de rose, aussi fragile qu'une jolie fleur mais elle est aussi têtue qu'un âne, j'en riais. Elle me demanda pourquoi je riais alors je lui répéta cette phrase.

Bella, tu es aussi douce qu'une pétale de rose, aussi fragile qu'une jolie fleur mais tu es aussi têtue qu'un âne.

De cette phrase elle m'ébouriffa les cheveux, mais la seconde d'après m'embrassa de plus belle, je lui rendis son baiser avec grand plaisir. Je regarda son visage, il était tellement beau, elle étais tellement belle, cette femme la mienne, ma Madame Cullen. Ses yeux devenais comme les nôtres, or, ses yeux en amande, sa bouche pulpeuse, son corps, tout m'attiré chez elle, elle étais mienne.

Bella, je ne te le dirais jamais assez. Je t'aime si fort.

Messages : 99 Date d'inscription : 12/08/2010

Le voyant à l'instant dans ses prunelles, comblé, je ne pu m'empêcher de sourire devant une tel vision. Mon ange. Le voir aussi heureux à mes côtés, me faisais à chaque fois renforcer que ma décision d'être devenue comme lui était ce qu'il y avait de meilleur pour nous deux. Je ne la regrettais pas et je ne le pourrais jamais. Il c'était trompé. J'étais très heureuse de l'avoir pour moi et d'être comme lui. Plus aucuns obstacles, nous séparais, plus aucunes craintes, ni aucunes retenues. Nous nous pouvons nous aimer, totalement et pleinement, jusqu'à la fin de notre éternité. Alors que j'étais plongée dans ses pensées, il commença à rire. Haussant un sourcil, je crue une seconde, qu'il m'avait vu faire une grimace ou un truc qui clochais en moi.

- Qu'est ce qu'il y a ?

Le regardant me répondre, je ne pue me pincer les lèvres avant de lui donner une légère tape sur l'épaule. Aussi têtue qu'un âne, je lui en donnerais moi des idées ! Lui ébouriffant par le suite ses cheveux, sous son petit air enfantin, je ne pus m'empêcher de revenir sur ses lèvres, pour la beauté de sa phrase. Du moins, de son début. Je ne pouvais jamais lui en vouloir. Je ne pouvais même pas y feindre. Même vampire, j'étais toujours une très mauvaise menteuse. Rendant mon baiser, je soupirais de bien être à cette synchronisation et sa main qui caressais légèrement mon dos. Me détachant d'elles, je le scrutais comme il le faisait avec moi, me délectant chaque infime parcelle de son visage et de sa beauté irréelle. Lui souriant tendrement, je laissais mon index droit dessiné le contour de son front, de ses yeux, son nez, ses joues, sa mâchoire pour finir sur ses lèvres avant de descendre sur son cou et de laisser ma paume se poser contre cette peau douce. Entendant de nouveau sa magnifique phrase, j'accentuais mon sourire avant de l'embrasser de nouveau tendrement, fougueusement et de descendre mes baisers par la suite, le long de sa mâchoire et de sa jugulaire.

- Comme moi, je t'aime. Je suis si heureuse dans tes bras. J'aimerais que chaque moments que nous passions ensemble, ne s'arrête jamais. Je t'aime tellement à un point que si tu venais à disparaître de mon univers, je te suivrais dans la seconde où j'apprendrais ce cauchemar.

Je suis comblé. C'est ma femme, je l'aime comme un fou, elle même, nous avons notre petite fille. Que demandé de plus, j'étais tellement heureux, je ne sais pas si elle savait à quel point. Mais je pense qu'elle le voit, je suis avec elle, je suis l'homme le plus heureux du monde et puis oui elle avait raison, Bella en tant que Vampire rien ne pourrais plus nous séparais l'éternité étais à nous, notre amour sera pour toujours nous en étions sur tout les deux. Lorsqu'elle m'embrasse, me regarde, me touche, j'ai l'impression de redécouvrir sa beauté, elle est tellement resplendissante.

Bella, Mon Amour. Tu es magnifique. Quand j'y repense quand tu n'étais pas encore à forks, j'étais vraiment " vivant" pour ma famille et surtout pour Esmée pour pas qu'elle se soucis de moi quand j'allais mal. J'avais attendu tant de temps, mais tu es arrivé, je ne savais pas quoi, je t'es vu, ta beauté, ton visage... j'étais hypnotisé par ton regard, par toi mon Amour.

Quand j'y repense mes années d'ennuis à ne faire que tous les jours la mêmes choses avais payés j'avais ma bien-aimée à mes côtés à présent et j'étais l'homme le plus heureux du monde.

Messages : 99 Date d'inscription : 12/08/2010

Je riais légèrement quand il m'annonça notre rencontre et ce qu'il avait ressentit à ce moment précis. Je ne pus que sourire tendrement tellement que ces mots me touchaient. Si j'avais été encore une humaine, j'aurais certainement pleurer de bonheur face à tant d'amour et de tendresse. Plaçant ma paume sur sa joue, je lui souriais de nouveau émue avant de l'embrasser de nouveau tendrement et amoureusement. Posant ma tête contre son torse, je caressais celui ci tout en humant pleinement son odeur qui m'hypnotisais à chaque fois en sa présence. Il m'aidais à m'apaiser et à me rendre heureuse juste quand il est avec moi.

- Je ne suis pas aussi magnifique que toi mon ange. Moi aussi, je n'ai fais que commencer à vivre quand tu es entrée dans ma vie. Celle ci à commencer dès que ton regard à croiser le mien. Tu es tellement tout pour moi. Je t'aime indéfiniment que mon coeur explose d'amour en te voyant. Tant qu'on sera ensemble, tout ira pour le mieux. Je n'imagine plus ma vie sans toi depuis quelques années. Cela m'est indispensable maintenant.

Embrassant son torse, je levais mon visage pour ancré mon regard dans le sien et de dessiner de nouveau le contour de son visage. Souriant tendrement, je laissais ma tête tomber dans son cou en déposant un baiser et de fermer les yeux, respirant sa magnifique odeur tout en caressant ses cheveux d'une de mes mains.

C'était un véritable bonheur de pouvoir passer un peu de temps avec ma femme. Puis tout à coup j'entendis des tout petits pas qui sembler être humain, alors mon odorat pris le dessus et je reconnu cette odeur, si douce que je connaissais tellement bien. Puis derrière un jeune pin une petite tête aux cheveux dorée apparut. Notre Renesmée nous avait retrouver, la petit coquine. Bella et moi rions à n'en plus finir, la petit vint à nous et se blottit dans ms bras ou se trouver déjà sa mère. La famille était au complet, l'amour que nous éprouvions l'un l'autre ne pourrais jamais s'arrêté. Renesmée très heureuse d'être ne notre compagnie souriait, souriait, elle étais heureuse mais elle mis sa main sur ma tempe et me montra les images qui avait précédé juste avant son arrivé lorsque Bella et moi nous nous entions embrassé. Nessie se sentait embarrassé d'être venue sans prévenir.

- Ma Chérie, ne t'en fait pas se n'est pas grave, tu ne nous dérange absolument pas, ta mère et moi sommes très content que tu soi la, ne t'en fais pas ma chérie et fais moi un gros câlin.

De ces mots elle me regarda me fit un léger bisou sur la joue, et s'endormit dans mes bras.

Messages : 99 Date d'inscription : 12/08/2010

J'entendis peu de temps après des petits pas résonnés au loin. Je les reconnaissaient entre tous. Ma fille, ma Renesmée. Celle qui était le plus cher à mon coeur. Celle à qui je ferais n'importe quoi pour la rendre heureuse et comblé quitte à me sacrifier. Me retournant vers mon mari, je vis que lui aussi avait reconnu notre divin enfant. La voyant arrivé, je ne pu m'empêcher d'ouvrir mes bras pour l'avoir tout contre moi après avoir ris de son aparation. Malgré ces quelques heures, elle m'avait manqué atrocement. Ce blotissant par la suite contre Edward, je caressais doucement ses cheveux, tout en humant la délicieuse fragrance qu'elle en émanais. Ce n'étais pas une odeur qui m'alèchais et me donnais soif. S'en était juste une qui me rendais heureuse et me rappelais la force de l'amour que j'éprouvais pour elle. Elle mis sa main sur la joue de son père et ce qu'il annonça me confirma mes doutes. Embrassant délicatement son front je souriais tendrement.

- Non, tu nous déranges absolument pas et tu nous dérangeras jamais.

La regarde avant de la voir dormir paisiblement dans les bras de mon époux. Contemplant se spectacle, je ne pu m'emêcher d'être envouté par ce moment entre eux deux. Ils étaient tellement beau. Regardant Edward, je lui adressais un sourire amoureux mélangé à d ela douceur sans quitter de mes doigts, les cheveux de Renesmée.

Bella, ma femme nous regardait d'une douceur, je ressentais sur amour qu'elle éprouvait envers nous. Son regard, son sourire, tout était magnifique chez elle. Renésmée tenait tout cela d'elle d'ailleurs. Rénesmée dormait toujours paisiblement, mais elle devait rêver puisqu'elle prononça quelques mots à peine audible pour les humains. Elle rêvait surement de son oncle Jasper, elle prononçait plusieurs fois son prénom. Bella qui nous regardait toujours, je lui donnais Nessie. Pour ne pas la réveiller je la saisis d'une délicatesse et la mis dans les bras de ma chère Bella. Cela fit très plaisir à Bella et j'aperçus en un bref instant les petites quenottes de Nessie, elle avait tout de même sentis qu'elle n'était plus dans mes bras. Quelle coquine ma fille. Bella m'envoya un baiser, et se rapprocha un peu plus de moi, elle se pencha et s'appuya contre moi. On aurait en faire une très belle photo de famille, je riais doucement, Bella toujours aussi curieuse me demanda immédiatement ce qu'il y avait, je lui répondis simplement à quelle point je l'aime, à quel point jamais je ne voudrais perdre les deux êtres les plus chers à mon cœur

- Je t'aime Bella.

Messages : 99 Date d'inscription : 12/08/2010

Souris à mon magnifique mari avant de prendre ma fille dans mes bras, heureuse de l'avoir moi aussi. La berce tendrement avant de la voir bougé légèrement remarquant surement l'absence de son père. Riant doucement quand elle évoqua le nom de son oncle, je fronçais doucement les sourcils, voulant savoir pourquoi il avait soudainement un tel intérêt pour Nessie. Je déciderais de lui parler plus tard pour savoir à quoi il jouait avec ma petite fille. Envoyant un baiser imaginaire à Edward, je me rapprochais de lui doucement et posais ma tête sur la sienne, aimant le touché des deux personnes qui comptaient le plus dans ma vie. Le voyant rire, je me retournais vers lui.

- Pourquoi ris tu ?

Fronçant légèrement les sourcils, je me détendais peu à peu avant de lui sourire de nouveau tendrement et amoureusement et de déposer avec délicatesse mes lèvres sur les siennes.

- Je t'aime aussi, Edward Cullen et ce depuis le commencement.